Ce joueur était donc capable de jouer la somme de 100 000 euros par jour sur des courses hippiques. Il représentait 95% du chiffre d'affaires d'un buraliste parisien, jusqu'à ce que le PMU ne l'incite à jouer sur des plateformes en ligne, évitant ainsi la commission que touche le buraliste sur chaque somme misée.
Selon le Parisien, une affaire serait en cours car le buraliste a décidé de poursuivre PMU en justice face à ses pertes de gains énormes. L'avocat de celui-ci reconnaît que l'entreprise a tendance à "soumettre des règles strictes dont elle s'affranchit sans scrupules". Affaire à suivre...